Petits et grands, nous avons tous repris le chemin du travail dans la fraîcheur des petits matins de septembre et cette boule au ventre tandis que nous arpentons les trottoirs gris.
Que reste-t-il de nos instants de libertés, à présent que nous sommes de nouveau enfermés entre les quatre murs d’un bureau, d’une classe ou d’un atelier ? Des images plein la tête, des odeurs d’embruns et des bruits de vague. Et l’envie d’y retourner…