Mar 29

Les 6 Heures de Solex Tarbes 2018 – 40ème Edition – Part. 3/3

Après avoir assisté aux préparatifs et au départ, suite et fin de ce reportage consacré aux 6h de Tarbes 2018 !

 

37/ La course bat son plein…

 

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40/ Le temps se gâte, le vent se lève, mais les spectateurs emmitouflés résistent aux températures glaciales et à l’humidité ambiante.

 

41/ Certains commissaires de piste optent pour une protection intégrale contre les éléments…

 

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43/ D’autres commissaires de piste n’ont pas de parapluie mais passent le temps comme ils peuvent, c’est à dire en dormant, en discutant, en mangeant, en draguant…

 

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Certains concurrents connaissent des avaries et rentrent aux stands à pieds…

 

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47/ D’autres ravitaillent car les réservoirs se vident vite avec un carbu surdimensionné…

 

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Regard de coureur

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La course s’achève enfin, et des moteurs ou des pilotes on ne sait pas qui est le plus épuisé après ces 6h de parcours par cette météo glaciale.

 

54/ Le Solex électrique qui a fait sa première course attire immédiatement les pilotes des autres équipes dès l’arrivée franchie, interloqués par ce curieux engin aux performances respectables !

 

55/ Et certains concurrents voudront même l’essayer pour un petit tour devant les stands !

 

Saluons en tout cas le génie de ces mécaniciens “géo trouvetout” capables de créer des machines totalement surprenantes et qui œuvrent de weekend en weekend au fond de leur garage.

 

56/ Ainsi s’achève cette 40ème édition, les casques et les gants sont rangés jusqu’à la prochaine, en ce qui concerne Tarbes rendez-vous en mars 2019 pour la prochaine course !!

Pour les passionnés de courses d’engins à galets, LE Forum spécialisé : http://www.solex-competition.net/

 
😉
 
 
Mar 28

Les 6 Heures de Solex Tarbes 2018 – 40ème Edition – Part. 2/3

Après avoir assisté aux préparatifs dans la première partie de ce reportage, il est temps de nous aligner sur la grille de départ pour ces 6 heures de Tarbes qui nous promettent du spectacle !

 

Pour démarrer un Solex de course, diverses méthodes sont possibles :

23/ Le pédalage traditionnel quand on a encore des pédales :

 

… Et quand il n’y a plus de pédales :

 

24/ La poussette à côté de sa machine

 

25/ La poussette sur sa machine

 

26/ Et enfin la poussette sur sa machine qui a des pédales mais n’a plus de chaine…

 

27/ Les concurrents sont alignés pour le départ.

 

28/ Pour le fun… Départ en photo animée, merci à la rafale et au format gif d’exister ! En N&B on croirait un film muet des frères Lumière…

 

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Contraste édifiant entre les deux “EroSolex” le numéro 69 ressemblant encore à de l’origine…

 

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…Tandis que le PlaySox est une véritable moto carénée…
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Mais les “tradis” ne déméritent pas, et, pour tout vous dire, c’est la catégorie que je préfère !

 

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Je vous ai parlé, au début de ce reportage, d’un Solex électrique, le voici, avec son énorme moteur (de machine à laver ?) entraînant le galet par une courroie. Il roule aussi vite que les modèles thermiques !

 

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35/ Virage serré où les concurrents se bousculent

 

36/ A la poursuite du 14…. Et nous poursuivrons nous aussi ce reportage plus tard ! A suivre donc ! Wink

Mar 27

Les 6 Heures de Solex Tarbes 2018 – 40ème Edition – Part. 1/3

40 ans, cela se fête ! Tradition respectée, tradition perpétuée, je vous propose donc de retrouver une nouvelle fois les Solex délirants des 6 heures de Tarbes, 40ème édition pour cette mythique course d’endurance Bigourdane d’engins à galet, organisée comme toujours par l’ENIT et qui s’est déroulée le dimanche 18 mars dernier au Centre Kennedy à Tarbes.

Les règles sont identiques aux éditions précédentes, il faut faire le maximum de tours du circuit en 6 heures.
Les Solex “traditionnels” tendent à disparaitre au profit des prototypes, mais les conditions de base pour participer demeurent identiques : ce sont bien sûr un moteur à l’avant et entraînement par galet. La cylindrée maximum est de 50cc (pour les modèles essence, car vous verrez pour la première fois cette année un modèle electrique !!).

Sur le circuit courent côte à côte 6 catégories, du modèle “origine” stricto sensu au superprotoype ou il est possible de tout changer à l’exception du mode d’entrainement et de la cylindrée, quant à l’électrique il fait son apparition sans conditions particulières hormis le diamètre du galet :

– Origine (bons mollets obligatoires !)
– Origine amélioré
– Promotion
– Prototype
– Superprototype
– Électrique

Même la météo a respecté la tradition, c’est sous un ciel gris et humide, glacial et venteux à souhait, que s’est déroulée cette édition 2018 qui ouvre la saison Solex. Heureusement, giboulées de mars oblige, le soleil s’est quand même parfois dévoilé et a daigné accompagner les coureurs à quelques reprises.

Matériel utilisé : Olympus OM-D EM5 + Lumix 20mm f1.7; Leica 25mm f1.4;  Zuiko 12-40mm f2.8 et Lumix 45-200mm.

–ooOoo–

 

 
1/ Vue générale des stands des équipes en bord de piste.

 

 

2/ L’heure du départ approche et dans les stands tout le monde s’affaire aux derniers réglages des mécaniques plus ou moins poussées.

 
 

 

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4/

 
 

 

5/ Sur un Solex (au moins d’origine), tout se visse/dévisse avec une clef de 9.

 
 

 

6/ Certains sont déjà prêts

 
 

 

7/ D’autres ont encore le tournevis à la main

 
 

 

7Bis/

 
 

 

8/ Mais le plus critique, c’est quand cela ne démarre pas du tout !

 
 

 

9/ Parfois il ne reste que la génuflexion et la prière pour faire pétarader le petit 2-temps qui nous mènera à la victoire.

Le monde du Solex, c’est aussi de l’ingénierie de haute volée, de savants calculs d’optimisations et aussi du bricolage de génie. On a que 50cm3 pour s’en sortir, il faut donc tout faire pour que ça avance. Cette année, nombre de concurrents ont travaillé au niveau de l’admission d’air du carburateur avec des boites à air absolument remarquables. Revue de détails :

10/ Le numéro 64 a opté pour une admission en boite de crème glacée Carte d’Or accolée à ce que je suppose être un dell’orto PHBG (vous noterez tout de même que c’est un “format spécial” !) :

 

11/ Le numéro 22, surement moins gourmand que le précédent, a lui opté pour le pot de savon d’atelier (il l’avait pour ainsi dire de suite sous la main !) :

 

12/ Le numéro 7 a quant à lui opté pour le cul de bouteille en plastique de marque non identifiée, cette forme particulière de culot pouvant être aussi bien du Coca-Cola que du Vichy Célestin.

 

13/ Voici le poste de pilotage d’un Solex de compétition :

 

14/ Quand on sait qu’un S3800 d’origine n’a que son accélérateur, sonnette et décompresseur, on ne peut qu’admirer de tels tableaux de bords !

 

16/ L’heure des essais

16Bis/

 

 

16Ter/ La compétition Solex est un sport ouvert aux femmes, comme nous le prouve cet équipage mixte où Madame de déméritera pas au guidon de sa machine !

 

17/ Le milieu du Solex est aussi parfois… Teinté d’érotisme. Vous avez par exemple le mythique Solex rose N° 69… :

 

18/ … Mais aussi le PlaySox pour des nuits envoûtantes… Aux 24h de Nouziers

 

19/ Premiers démarrages ! Si ça fume, c’est que c’est bon ; il y a assez d’huile !

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21/ Le numéro 28 dispose d’un joli tapis pour ses roues délicates.

 

22/ Je vous propose de vous retrouver plus tard pour le départ et les premiers tours de pistes … A suivre !

 
 
Mar 14

“Châtelaillon III”, La photo qui valait 5 millions de dollars…

“Châtelaillon III”

La photo qui valait 5 millions de dollars…

Tant que ça ? Et bien oui, car je me suis inspiré pour cette image de l’œuvre du photographe Allemand Andréas Gursky, “Rhein II”. En 2011, un tirage de cette photo est adjugé pour 4,3 millions de $, en faisant la photographie la plus chère jamais vendue.

L’image réalisée par Gursky représente le Rhin, coulant horizontalement dans le champ de vision, entre des champs verts sur chaque rive, sous un ciel couvert. Tous les détails superflus, comme les promeneurs et un bâtiment d’usine, sont éliminés par l’auteur par édition numérique. Vous pouvez la voir en cliquant ci-dessous :

Rhein II

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Ce fût un tel choc photographique pour moi lors de sa découverte que je n’eus depuis lors de cesse de m’approcher de cet exploit.

C’est ainsi que je vous propose “Châtelaillon III”, réalisée dans la belle commune de Châtelaillon-Plage en Charente-Maritime le samedi 2 septembre 2017, d’où elle tire son nom.

Si certains d’entre vous ont des envies d’achat devant l’impact visuel de cette œuvre, me contacter sans délai pour en discuter.

 

Cliquez sur l’image pour l’agrandir

 


Olympus OMD EM5 + 12-40 f2.8 (Oui je sais c’est pas terrible comme matos, j’aurais dû la faire au Leica M. Mais en fait j’attends d’avoir vendue l’œuvre pour m’en offrir un.)

Mar 01

Balade au Pont d’Espagne et Lac de Gaube – Hautes-Pyrénées

Je vous propose une petite marche Pyrénéenne sous le soleil d’été pour vous réchauffer un peu !
En août 2017 nous avons randonnés dans ces hauts lieux du tourisme Pyrénéen que sont le pont d’Espagne et le Lac de Gaube.

Le Pont d’Espagne est situé à une altitude d’environ 1 500 m sur la commune de Cauteret. Son nom vient du fait qu’il s’agit d’une ancienne voie permettant de rallier l’Espagne par la montagne et aussi du pont en pierre qui permet de passer le gave (torrent).
Il se situe exactement à la confluence du gave du Marcadau et du gave de Gaube. La zone est un goulet d’étranglement géographique, ce qui en fait un endroit avec de nombreuses cascades.

Le lac de Gaube se trouve dans le dernier tiers de la vallée de Gaube (six km au nord du Vignemale et deux km au sud du pont d’Espagne) et est alimenté par le gave des Oulettes de Gaube. Le lac est surplombé directement par le pic Mayouret (2 688 m) à l’est, le grand Pic des Paloumères (2 720 m) au sud-est, et le pic de Gaube (2 377 m) au nord-ouest.

Cette série photo est certes hors-saison mais m’a demandé un très lourd travail de post-traitement. En effet comme vous pouvez vous en douter, en plein été en montagne, la lumière est très dure et il m’a fallu bien des efforts pour équilibrer des contrastes violents, rattraper des blancs cramés et déboucher des ombres aussi noires que le charbon, mais le capteur de l’OM-D ne manque pas de ressources et en poussant les capacités du RAW dans ses retranchements j’arrive à un résultat acceptable sous cette lumière difficile, quitte une fois à utiliser l’artifice de l’HDR.

Mettez votre sac à dos, on y va !

 

1/ Voici le fameux Pont d’Espagne, départ de la randonnée vers le lac.

 

2/ Par-dessus le gave

 

3/ Vue de l’autre côté du pont, avec une première cascade

 

4/ Voici les grandes cascades en amont du pont

 

5/ Un premier panoramique, il y en aura quelques-uns dans ce post, sur les grandes cascades :

Cliquez sur l’image pour voir le panoramique en grand

 

6/ De l’autre côté

 

7/ Voici un panoramique vous donnant une vue générale des lieux, pris depuis le pont :

Cliquez sur l’image pour voir le panoramique en grand

 

8/ L’eau qui court

 

9/ Une dernière vue de la grande cascade et nous démarrons la randonnée qui démarre au Pont.

 

10/ Une grande partie du parcours traverse une zone boisée.

 

11/ A certains endroits, des cairns tels des signatures de marcheurs, signalent le passage de nombreux randonneurs…

 

12/ Texture racinaire…

 

13/ Foudroyé

 

14/ Encore et toujours des cascades…

 

15/ Et enfin, à un détour du sentier, au loin se découvre le massif du Vignemale : le lac est proche !

 

16/ Quelques derniers lacets et vous allez pouvoir poser le sac à dos : le lac s’offre enfin à vous.

 

17/ Panoramique sur le lac

Cliquez sur l’image pour voir le panoramique en grand

 

 

18/ Le massif du Vignemale

 

19/

 

20/ Départ du gave

 

21/ En montagne il ne faut pas descendre trop tard pour ne pas se faire piéger par la météo qui change à une vitesse grand V. Du coup, il est temps de déjà repartir…

 

22/ Bonus cascade

 

Voilà, en espérant que ces quelques images vous aient données envie pour l’été prochain !  

 
 
Mar 01

On a skié sous la Lune

“On a skié sous la Lune”

On y a marché, roulé, mais pas skié dessus… Par contre dessous, c’est fait !

 


Cliquez sur l’image pour l’agrandir

 

 

OM-D EM5 + Zuiko 12-40 f2.8.